Le Plateau de Saclay vu par la lorgnette...
DU 11 MAI AU 12 JUIN
Vous trouverez un lien vers tous les documents de l'enquête: ICI
Dossier d'enquête consultable en mairie de Gif, aux heures d'ouverture de la mairie
Pour voir le commissaire-enquêteur (à la mairie de Gif)
samedi 6 juin 9h-12h
vendredi 12 juin 15h30-18h
Contribution du collectif: lire la suite
Contribution des sections SNASUB-FSU et SNESUP-FSU de l'ENS de Cachan :
Contribution de la COSTIF :
Contributions de citoyen(ne)s
Pour participer à l'enquête publique et donner votre avis:
* écrire sur le registre en mairie de Gif
* écrire, par vois postale, au commissaire-enquêteur, M. Fabien Ghez, à la mairie de Gif.
* Le collectif citoyen Moulon2020 demandé à Mme la Sous-Préfète de Palaiseau de créer une adresse internet de façon à faciliter la participation du public. Elle a refusé, pour la raison que l'adresse n'ayant pas été créée au démarrage de l'enquête, cela risquait de rompre le principe d'égalité entre les citoyens.
Ceci étant, nous avons réitéré notre demande, arguant de l'enquête de DUP de Corbeville pour laquelle l'adresse mail n'avait pas
été créée en début d'enquête.
En attendant, vous pouvez nous envoyer vos contributions
(moulon2020@moulon2020.lautre.net) et nous les imprimerons et iront les coller sur le registre.
Bonjour,
Vous êtes sur le site
du collectif CITOYEN
MOULON 2020.
Nous sommes des citoyens de Gif, Bures, Palaiseau, Villiers le Bâcle, Orsay, ... qui avons pour but premier d'informer au maximum les habitants ce qui se prépare sur le Plateau de Saclay (plus spécifiquement sur toute la frange sud du Plateau). Ce site est un de nos moyens pour le faire.
Nous incitons également au maximum à la participa-tion citoyenne aux enquêtes publiques et essayons de lire au maximum les dossiers pour donner des pistes.
LIENS UTILES
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Christophe Blondel (mercredi, 10 juin 2015 18:39)
Dépenser 200 M€ pour déplacer un établissement public d'enseignement supérieur parfaitement bien là où il est - il a engrangé ces dernières années de nombreux succès - de 17 km, alors que les universités locales sont dans les pires difficultés pour boucler leurs budgets et qu'il suffirait de quelques M€ (4 ou 5) pour les remettre à flot, c'est, dans le domaine de l'enseignement supérieur où on est pourtant censé faire démonstration d'intelligence, une utilisation des deniers de l’État qui dépasse l'entendement. Puissent quelques esprits raisonnables arrêter ce délire (dont les dégâts écologiques sont par ailleurs évidents et tout aussi stupéfiants, en ce temps de prise de conscience de la fragilité de la planète Terre) !
C. Blondel, chercheur CNRS à Orsay